ReBonsoir,
Berne, avait eu le plaisir d'accueillir le dernier grand prix de formul 1, mais lors de ce grand prix, il y eu un mort (un pilote de courses), dès lors, la fédération suisse des sports mécaniques, interdit toutes manifestations de courses automobiles, sur tout le territoire. En ces temps reculé, il n'existait aucune indication signalistique routière, du fait du peu de véhicules en circulations dans notre pays, (que du bonheur, de pouvoir rouler à plus de 250 km/h sur toutes nos routes sans aucune prescription signalistique ni contrainte de vitesse supérieure, mais il y eu tellement de morts en une année, qu'il fallu payer pour les "assurances responsablilitée civile et assurance du véhicule" individuelles des motards l'année qui suivit cette écatombe des sommes extraordinairements salées afin de pouvoir compenser les pertes occasionnées par le nombres de cinistres enregistrés au cour de l'exercice présédent. Ainsi, je du débourser Fr. 3280.- pour les 9 mois d'obtention des plaques en 1976 ou 1977, je ne me souviens plus exactement de la dâte. En 1974, lors de l'attribution de mes permis de conduire, il n'y avait aucune prescription sur les achats des véhicules pour les jeunes conducteurs, je suis passé du vélomoteur Sach à 3 vitesses, (mon frère en avait frisé un, son Sach atteignait environ 68 km/h au plat et plus de 85 km/h en 3ème vitesse à la descente, rendues possible grâce à un gicleur de carburateur réglable).
Donc ma première moto, une "MV Agusta 350 réplica competitione", me limita heureusement aux 180 km/h, ca tenue de route était exemplaire, les seuls défauts étaient: des freins Grimeca doubles machoires qui ne freinaient presque plus sous la pluie, une batterie de 6 volts avec une dynamo qui allimentait mon phare avant (l'intencitée de lumière variait celon les tours du moteur, ce qui nous plongaient dans le noir total lors de virage en épingle en pleine nuit sans lune, une galère monstre pour qui ne ci attendait pas la premiere fois) et pour terminer avec ces défauts, elle produisait des fourmillements sous les bottes, du fait de vibrations sur tout l'ensemble du cadre.
La plus traitre de mes motos, fut incontestablement ma Kawasaki 500 Mack III, on l'appelait "la feuseuse de veuves", pour la simple et stupide raison que le moteur était trop reculé dans le cadre ce qui placait le centre de gravité trop en arrière. Ainsi, malgré la fourche avant d'une Honda 500cc et un double frein à disque avant (percé), ma bécanne provoquait un délestage de la roue arrière à la suite d'un guidonnage avant 7 fois sur 10 env. en accélération comme en décélération d'ailleur et seulement entre 170km/h et 180km chaque fois elle me tappait le postérieur de façon çi brutalle que je suis parti plusieurs fois en soleil, mais jamais j'ai chuté à cause de celà. Par contre le jour où je suis passé entre les voitures qui roullaient dans les deux sens de la route et sur une longeur d'environ 300m après une ruade de cette diablesse de teuf lancé à plus de 180 km/h (obligation de rester les jambes en l'air, le ventre à plat au dessus de la selle, les bras tendues lors du flottement des jambes dans l'air, puis appuier les avant bras sur le réservoir pour ne pas changer de direction brutalement lors de la redécente des jambes causé par la perte de vitesse due aux réajustement des jambes en équilibrent de chaque côtés de la moto puis rouvrir la "poignée de gaz 3/4" à fond pour relancer mes jambes dans l'air àfin de pouvoir continuer sur ma ligne très restreinte entres les véhicules), ou c'est un miracle ou alors c'est grâce à mon expérience et mon sang-froid, mais après trois ou quatre passages des jambes qui retombes et des accélérations pour les relancer en l'air, je fut sorti des colonnes de voitures de part et d'autre de la route. Maintenant, je comprend mieux les "12 heures concidérées de travail" pour "une heure de vols intensifs" effectués par l'élite des pilotes d'avions de chasses et de voltiges, qui doivent voler à seulement quelques centimètres les uns des autres, en plus de la confiance qu'ils partagent pour leurs unités).
Le seul circuit pour les véhicules et qui est ouvert à tous, permet à peine d'atteindre les 180 km/h dans ca ligne droite, c'est le petit circuit de Lignière, sur le plateau de Diese à une vingtaine de kilomètres de chez moi. Mais plusieures institutions suisses réclament accuellement un circuit de perfectionnements à la conduite et pour les pilotes un circuit de haute vitesse. J'espère que celà se fera un jour, et pourquoi pas aussi organiser des rodéos démonstratifs (voiture contre voiture, moto contre noto, voir camion contre camion et Jean passe, m2r, à la manière des meetings d'aviations par exemple! non?, entre gens sérieux et qui savent ce qu'il font, je crois que l'on pourrait en toute confiance, commencer loin l'un de l'autre le croisement du mur et réduire petit à petit la distance, segonde après segonde et mètre après mètre. Je sais, ce que vous pensez, "mais il est toujours aussi bargot le Baron blanc". Sachez que j'ai expédié que trois voitures et une moto venant d'en face dans les champs entre Betllach et Bellach, et nous tous, nous savions ce que nous faisions, ou presque, en plus il n'y a que des champs deux côtés de cette route et je me suis chaque fois arrêté voir fait demi-tour afin de m'assurer d'aucun blessé, moi même ni ayant jamais gouté à ces herbes là, mais une fois je me rappelle m'y être retrouvé, cependant les circonstances passées méchappent en cet instant présent.
Bon je m'arrête enfin ici, pour le moment, je me permettrai de r'ajouter d'autres petites histoires à ce thème par la suite.
Bonnes continuatons à tous. @+ leBaronblanc ou c2JD